Le projet  de gravir cette montagne dépasse la simple quête d’un sommet.

C’est un chemin vers la résilience, un hommage à mes parents, et une manière de montrer à ma fille de 12 ans qu’il est toujours possible de se relever, de croire en soi, et d’aller au bout de ses aspirations, peu importe les obstacles.

Mais ce défi n’est pas qu’un défi personnel. Je souhaite qu’il devienne une source d’espoir pour tous ceux qui luttent dans l’ombre, en particulier contre la dépression.

C’est pourquoi je m’engage à soutenir une association dédiée à cette cause. Par cette ascension, je veux envoyer un message : "Tout est possible." Que l’on peut se relever des épreuves les plus dures, qu’il est possible de trouver la lumière même après les périodes les plus obscures.

Gravir le Cho Oyu, ce n’est pas seulement atteindre un sommet physique, c’est symboliser un dépassement intérieur.

C’est prouver que les rêves peuvent nous guider, même lorsqu’on traverse les tempêtes les plus violentes.

À travers ce projet, je souhaite partager une histoire d’espoir et de courage, et inspirer ceux qui doutent de leur capacité à surmonter leurs propres montagnes.

Je suis convaincu que chaque pas vers le sommet, aussi ardu soit-il, peut devenir une preuve éclatante que la vie, même après les épreuves, mérite d’être vécue pleinement.

J'aimerai transmettre ce message à travers des séminaires, des échanges dans les écoles avec les plus jeunes ou voir même la presse et la radio.

Avec ce rêve, je veux honorer mes parents, inspirer ma fille, et surtout, contribuer à donner de la force à ceux qui en ont besoin. Parce qu’ensemble, nous pouvons gravir toutes les montagnes.